Depuis que sa mère est morte, bêtement écrasée par un camion de livraison, Blanche, la fille du directeur du supermarché Miniprix se coltine une belle-mère pénible qui tient absolument à être la plus belle du centre commercial des Quatre-Vents. Le problème, c’est que Blanche est vraiment très jolie et douée dans à peu près tout, et cela met en rogne sa belle-mère.
La suite, vous l’imaginez : la belle-mère essaie de supprimer Blanche, qui se carapate (en stop) à l’autre bout du département, et finit par se réfugier dans un cabaret où dansent chaque nuit sept beaux danseurs… Prête à tout pour faire disparaître sa belle-fille, la marâtre usera alors des stratagèmes les plus ignobles pour parvenir à ses fins…
Voilà, j’ai tout repompé dans Grimm. A ce détail près que ce petit roman est garanti 100% sans sexisme, puisque publié dans la collection Livres et égaux des éditions Talents Hauts.
La suite, vous l’imaginez : la belle-mère essaie de supprimer Blanche, qui se carapate (en stop) à l’autre bout du département, et finit par se réfugier dans un cabaret où dansent chaque nuit sept beaux danseurs… Prête à tout pour faire disparaître sa belle-fille, la marâtre usera alors des stratagèmes les plus ignobles pour parvenir à ses fins…
Voilà, j’ai tout repompé dans Grimm. A ce détail près que ce petit roman est garanti 100% sans sexisme, puisque publié dans la collection Livres et égaux des éditions Talents Hauts.
Blanche et les sept danseurs, roman illustré par Ewen Blain, éditions Talents Hauts, 48 pages, 6,90€. En librairie.
On en parle...
sur le blog Les p'tits lus
sur le site Les histoires sans fin
sur Lululus
sur le blog Buttinage
Articles
One more! En vente dans tous les Miniprix?
RépondreSupprimerBises
Mamouth
Euh... Juste un truc : c'est quoi des niniches molles???
RépondreSupprimerSardine
alors, petite leçon de choses : la niniche molle est une friandise à base de sucre, qui ressemble à une sucette très allongée, et dont la consistance rappelle celle du caramel. Elle peut être à différents parfums, et donc de différentes couleurs, et également de consistance plus ou moins solide, d'où la catégorie dite de la niniche "molle". Personnellement, j'en ai vu (par milliers) sur la jetée des Sables d'Olonnes. D'où ma conclusion peut-être un peu hâtive qu'il s'agit d'une spécialité de Vendée... Y en a pas à Besançon?
RépondreSupprimerAh... non! Ici, on a du Comté, mais pas encore en sucette, faut que je lance l'idée!
RépondreSupprimerC'ets bizarre parce que j'ai passé toute mon enfance sur les plages d'Oléron (pas loin de la Vendée donc), mais je n'ai jamais vu l'ombre d'une niniche molle... et je le regrette vivement!
Merci pour ces explications, je me demandais si c'était une invention de ton imagination, mais non!
PS : j'ai beaucoup aimé ta nouvelle version de Blanche, avec une mention spéciale pour le téléphone empoisonné :-))
Sardine
merci Sardine,
RépondreSupprimerpour ce qui est du téléphone, il fallait bien moderniser, car si tu espères appâter une fille aujourd'hui avec un peigne, comme dans le conte d'origine, t'es pas au bout de tes peines...