vendredi 5 février 2010

La maxi-gaffe d'Arthur

Arthur, Justine, Augustin et Kadour sont de retour... Après avoir sévi dans les pages du magazine Mes premiers j'aime lire, les revoilà en livre de poche et donc en librairie...
L'histoire:
Arthur et ses copains ont inventé un nouveau jeu : le jeu du contraire. C'est simple, il suffit de dire tout le contraire de ce qu'on pense. Si tu adores les frites, par exemple, tu n'as qu'à dire : je déteste les frites.
Le problème, c'est que si tu dis ça à une frite qui ne connait pas les règles, elle risque de mal le prendre...

Bon, en vrai c'est lorsque Arthur fait une déclaration d'amour à l'envers à Justine ("Justine, elle est moche comme un cageot et bête comme un poulet"), que tout commence à aller de travers dans la cour de récré...

La maxi-gaffe d'Arthur, un petit roman illustré par Aurélien Débat, aux éditions Bayard poche, collection Mes premiers j'aime lire, 4,90€. Conseillé à partir de 6 ans.

10 commentaires:

  1. Euh, je déteste cette idée, j'aime pas du tout ce que tu fais, en plus le titre est nul et les illus on l'air pourries. Voilà.

    RépondreSupprimer
  2. c'est bien ce jeu du contraire, mais faut pas que ça dure trop longtemps... super idée en tout cas...

    RépondreSupprimer
  3. Je suis en désaccord total avec Séverine! Ca ne fait pas du tout envie et je ne vais pas l'offrir à ma fille, qui de toute façon, ne va pas du tout aimer.
    Et en plus, je déteste les frites! Pour de vrai.
    Sardine

    RépondreSupprimer
  4. Bon, ça suffit Baleine, on ne dit plus de mal des frites, elles me font dire qu'elles en ont marre d'être le bouc émissaire dans cette histoire...
    (entre nous, la frite n'a pas énormément d'humour. C'est le succès qui lui est monté à la tête, mais chuuut!)

    RépondreSupprimer
  5. Baleine? Baleine? Il n'y a pas de baleine ici! Une Sardine un peu enrobée, peut-être... par Toutatis!

    RépondreSupprimer
  6. ah mais on va pas se "friter" non plus, hein...
    Belle étoile de mer, ça te va ?

    RépondreSupprimer
  7. "Tu parles, Charles!" que ça m'va! Comme dirait un auteur jeunesse que j'aime bien...

    RépondreSupprimer
  8. et alors, nous on ne veut pas de suite à toutes ces histoires, le temps file doucement et nous rajeunissons à ne pas attendre que Gwendoline raccroche sa plume pour arrêter de nous enquiquiner avec ces moches livres
    bises du 11ème

    RépondreSupprimer
  9. Purée, je ne sais pas si c'est la fatigue, mais je commence à avoir du mal à traduire... Je soupçonne la dame du 11e d'être une méga pro du jeu du contraire.
    à moins que ce ne soit une coutume très répandue et très ancienne dans le 11e de parler à l'envers...

    RépondreSupprimer